La méditation : c’était donc ça… !
Et si ce que nous percevions du monde qui nous entoure n’était pas le véritable “réel”, tel qu’il est vraiment ? Et si cette soi-disant “réalité” n’était simplement que la construction d’un ensemble que nous élaborons nous-mêmes ?
Phénomène de mode
Même si encore mystérieuse pour certaines et certains, la méditation s’apparente à la volonté d’atteindre in fine une sorte d’hygiène mentale, basée sur un outil central de régulation des émotions. Ce dernier vise à éviter de laisser son esprit s’autocontaminer, tant par des souvenirs du passé que par des craintes du futur, et donc, de vivre pleinement le présent.
La pensée est parfois hypothétique ; s’en détacher peut aider à revenir à l’instant présent. Plutôt que d’être une technique de relaxation – et même si favorisée lorsque l’on est plutôt détendu –, la méditation se pose alors davantage en une méthode d’observation du flot de ces pensées. Au-delà du cliché du moine assis en tailleur, il s’agit alors, non pas de s’isoler, mais au contraire, de se relier à l’instant présent, au vrai soi, avec pour objectif principal de s’en nourrir, de savourer les instants présents, et de panser ses éventuelles plaies.
En définitive, tout en accueillant les réalités de la vie et du quotidien dans une quête de fluidité et en évitant les contraintes, il s’agit ni plus ni moins que de vivre le moment présent, mais surtout, de se construire un moyen d’appréhender ce que nous vivons et vivrons via une approche différente de l’expérience présente, en suspendant la réaction immédiate et en maîtrisant son impulsivité.
“La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent.”
La méditation : cette vieille dame…
Longtemps réservée à la sphère religieuse et spirituelle, la méditation se pratique depuis des millénaires.
Véritable icône de cette pratique, c’est depuis quelque cinq siècles avant JC que le chef spirituel népalais Siddhārtha Gautama – davantage connu sous le nom de Bouddha – est unanimement reconnu comme étant le père fondateur de cette méthode.
Au fil du temps, de nombreuses “techniques” de méditation – laïques ou religieuses – ont été développées : Vipassana, Zazen, Mindfulness, Anâ – apâna – sati, … . Plus récemment, c’est dans les Golden Sixties que de nouveaux mouvements, parfois associés à une forme de transcendance, ont vu le jour, dont certains initiés par le célèbre groupe de pop rock anglais The Beatles.
Adepte du yoga, c’est au cours des années 80 que le biologiste américain Jon Kabat-Zinn crée le terme de “Mindfulness”.
Maladroitement traduit en français par le terme de “Pleine conscience” (au détriment de “Pleine présence”), le concept consiste initialement en un protocole de 8 séances réparties sur 8 semaines.
Par le biais d’un entrainement assez simple, il convient finalement d’être, non pas activement conscient (ce qui peut potentiellement être contraignant), mais au contraire simplement et passivement présent, dans le but d’accueillir – en toute bienveillance – ses propres expériences, tant internes (émotions, pensées, états d’esprit, …) qu’externes (interventions d’autres, évènements divers, …).


Objectifs, moyens et finalité
Au risque de se figer dans une véritable attente finalement improductive, d’aucuns considèrent qu’il convient d’éviter de nourrir des objectifs précis quant à la pratique, régulière ou non, de la méditation.
Dans l’absolu, les attentes parfois inavouées des pratiquants semblent se concentrer autour des points suivants :
- écarter les supputations virtuelles au profit de l’évaluation des faits réels
- compenser ce que nous impose la vie par des instants de calme, de plénitude, de paix intérieure
- accepter sa vulnérabilité, équilibrer sa sensibilité, renforcer sa stabilité
- s’offrir parfois la possibilité de mesurer le décalage inconscient existant entre le vécu, les croyances et les véritables valeurs
Le meilleur moyen est alors de suivre un entrainement de l’esprit, par le biais de quelques exercices quotidiens, réalisés au cours de séances d’à peine quelques instants imprévus – presque informels, dits de “pleine conscience” –, à d’autres plutôt planifiées, et donc plus formelles (jusqu’à 30 minutes ou plus), lesquelles peuvent alors être définies comme de la réelle méditation.
En finalité, ce sont de réels bénéfices cérébraux qui apparaissent, et ce, dans de nombreux domaines :
développement d’un meilleur équilibre attentionnel
stabilité des émotions
meilleure mémoire
développement de l’estime et de la confiance en soi
adaptabilité aux personnes et aux situations / source de relations plus harmonieuses avec l’entourage
gestion accrue du stress et de l’anxiété
renforcement de la bienveillance envers soi-même
perception plus juste de la réalité, de l’environnement
contrôle accru des impulsions (dont certaines parfois excessives, voire addictives)
potentiel contrôle de la douleur
Oui mais…
Face à l’incrédulité de certains quant à la méditation, il convient effectivement d’accorder certaines limites à cette pratique :
- Le cerveau crée en permanence ; les pensées sont donc permanentes. En conséquence, le vide, oui… mais pas vraiment !
- Gare à l’idée tronquée qui consiste à penser que méditer s’assimile au fait de s’isoler complètement de l’extérieur. Au contraire, l’environnement se doit d’être considéré comme étant un ensemble d’éléments, tant intérieurs qu’extérieurs, tous autant nécessaires les uns que les autres pour vivre pleinement et dans l’acceptation du réel et de ce qui existe.
- Un esprit positif, oui… ; mais il convient aussi d’accepter et de traiter le négatif, en toute objectivité (le négatif fait partie de notre environnement ; l’ignorer ou le rejeter tronque la réalité).
- Conserver à l’esprit qu’il ne s’agit pas “d’acquérir de nouvelles compétences”, mais bien de développer des qualités et aptitudes simplement enfouies en chacun de nous, dont par le mode de vie occidental dans lequel nous évoluons tous quotidiennement (notoirement reconnu pour être peu propice au véritable développement personnel).
- Il importe d’explorer soi-même les quelques méthodes qui paraissent intéressantes ou accessibles, sans pour autant se voir en imposer d’autres, subjectivement moins impactantes. A défaut, le rejet sera naturel, et d’ailleurs justifié.
Il importe en outre d’éviter de basculer dans la fameuse “dictature du bien-être”, ô combien présente sur les réseaux sociaux et ailleurs.
Si elle est effectivement assez simple, la pratique de la méditation n’en est pas pour autant une expérience systématiquement agréable. D’ailleurs, et contrairement à ce que nombre de praticiens prétendent, il ne s’agit aucunement d’un outil de performance.
Quels risques ?
Aussi surprenant que cela puisse paraître, la pratique de la méditation comporte un certain nombre de risques, qu’il importe à la fois d’anticiper, mais surtout – le cas échéant –, de maîtriser :
- Choisir de méditer est un choix personnel ! L’effet de mode, la pression d’un programme mis en place par son entreprise, ou encore l’incitation insistante d’amis ou de connaissances, sont autant d’éléments à écarter de ses propres et intimes convictions à vouloir avancer dans la voie de cette pratique.
- Equilibre et liberté, maîtres mots ! En d’autres termes : conserver son propre rythme, sa propre intensité, ses propres choix (tant de temps que de lieux) ! A défaut, tant le corps que l’esprit se rebelleront…
- La perte de contact avec soi-même peut créer des angoisses (stress, vécu, propre expérience, souffrances qui remontent, …). Le cas échéant, ne pas hésiter à se faire encadrer, coacher, ou à suivre une formation adaptée.
- Il importe de limiter ses attentes par rapport à la méditation, qui se doivent d’être réalistes, afin d’éviter l’insatisfaction (dont par rapport à ce qui est foncièrement impossible car hors de portée, puisque souvent issu du monde extérieur).
- Dans la continuité du point précédent, il convient de réaliser (et d’accepter) que la pratique de la méditation n’apporte que de faibles – mais souvent salutaires – modifications et adaptations à notre quotidien, souvent mué par des processus automatisés autant utiles que nécessaires, mais sur lesquels nous n’avons finalement que peu de prise.
- La pratique de la méditation peut potentiellement laisser émerger un décalage entre la personne que nous souhaiterions être, et celle que nous sommes réellement. Parfois, le choc peut être brutal…
- Ouverture et réflexions impliquent forcément une amplification de la sensibilité et des ressentis. Et donc d’émotions, qu’il convient de se préparer d’accueillir (qu’elles soient porteuses ou moins agréables), tout en acceptant tant le bien-être potentiellement procuré, que d’autres sentiments parfois plus nuancés, tels que la colère, le jugement ou l’hostilité.
- Pratiquer artificiellement la méditation en vue d’éluder d’autres problématiques existantes est forcément contreproductif.
Les principales clés
Même si à la portée de toutes et tous, la méditation n’en reste pas moins un art délicat, qu’il importe de pratiquer en conservant certaines règles à l’esprit :
- La méditation s’expérimente de façon individuelle et presque intime, que ce soit en tant que débutant ou en tant qu’expert. ; et surtout, en totale liberté. Aucun compte n’est d’ailleurs à rendre, à qui que ce soit !
- La méditation nous montre que tout est déjà là ! Il n’y a rien de nouveau à aller absolument chercher pour, soi-disant, trouver l’équilibre.
- Qu’ils soient basés sur des faits réels ou passés, il importe de s’éloigner des jugements, propres et envers autrui, de même que sur des faits potentiels et hypothétiques. But recherché : s’éloigner de modes de pensées dépressogènes, au profit de l’expérience actuelle, porteuse de besoins et d’objectifs présents.
- Il existe enfin un réflexe souvent présent chez les personnes hypersensibles, à savoir, un phénomène de dissociation du moment présent, par lequel l’on se coupe involontairement de ce que l’on vit, dans un réflexe de protection. Dans ces cas et conditions, il convient d’accepter le dérangeant, dont par et pour soi-même, mais aussi le malaise potentiel, l’éventuelle douleur qui peuvent naturellement jaillir par la prise de conscience réelle et honnête des éléments du présent. Objectif : atteindre finalement une réelle acceptation de ce que l’on est, de ce que l’on vit.
Le Graal
En définitive, la grande finalité de la pratique de la méditation peut se résumer en une intime volonté de s’éloigner des automatismes et des conditionnements que la vie quotidienne impose, pour atteindre plus fréquemment le fameux “lâcher-prise” – acceptation qu’une situation que l’on ne peut corriger ou influencer n’évolue donc pas dans le sens pourtant souhaité.
Il s’agit aussi de parvenir à accepter sereinement ses émotions sous un angle de meilleure compréhension et prise de conscience des situations qu’elles impliquent, mais aussi, de leur signification.
En définitive, la méditation aide à identifier les besoins réels et profonds pour, finalement, adopter des choix de vie plus posés, et en meilleure adéquation avec les valeurs qui animent réellement et sincèrement.
Des applications au niveau professionnel ?
A l’instar de nombreux programmes développés en entreprise depuis des années aux Etats-Unis (et plus récemment en Europe), le développement de la méditation dite de “pleine conscience” vise davantage le bien-être des individus que des résultats immédiats.
L’un des effets recherchés – dont au niveau professionnel – est alors d’inciter à une certaine prise de recul en vue d’une meilleure identification des véritables priorités.
Justesse dans les actes et les pensées, ou encore authenticité et développement de la richesse des potentiels (tant individuels que collectifs) sont par ailleurs autant de points également à l’ordre du jour.
Et le cerveau dans tout ça ?


Réputé pour sa véritable plastique, le cerveau dispose de cette surprenante capacité de pouvoir se transformer lui-même. A force d’entrainements divers et plus ou moins réguliers, de nouveaux réseaux cérébraux peuvent ainsi voir le jour, donnant alors naissance à de nouvelles capacités.
Soumis à n’importe quel stimulus, tant intérieur qu’extérieur, le cerveau développe ainsi une potentielle nouvelle réponse, qui tend alors à rendre l’environnement qui nous entoure de plus en plus vaste – presque abstrait. Formidable banque de données, ce magnifique organe finit par subjectiver notre pensée, principalement en fonction de notre vécu, de notre expérience. L’interprétation en devient systématique, incontrôlée, mais aussi inconsciemment biaisée, voire presque insidieusement tronquée.
Dans ces conditions, nous sommes perpétuellement incités à penser, à agir, dans un contexte régulier – mais inconscient – de simulation, au sein duquel nous ressentons de multiples sensations (agréables ou pas), lesquelles nous poussent à adopter des comportements soit d’approche, soit d’évitement.
Si l’ensemble de ces éléments nous forge bien entendu une certaine stabilité, c’est peut-être une démarche parfois plus vierge, plus nue, des situations que nous rencontrons, qui nous permettrait de mieux appréhender et gérer notre quotidien, constitué – entre-autre mille choses – d’émotions qui, quant à elles (et par définition) s’opposent drastiquement à ce tout, à la fois complexe et systémique.
Quelle que soit la forme qu’elle prend, la méditation semble pouvoir offrir cette formidable opportunité de prise de distance par rapport à ce mode de fonctionnement inné, en ouvrant certaines voies de distanciation nécessaire par rapport au jugement, aux étiquettes, voire même à l’égo (qui s’en retrouve alors souvent correctement repositionné).
En définitive, il s’agit là d’un très bel outil de développement d’une forme particulière d’intelligence : l’intelligence de soi, qui, si exploitée à bon escient, permet de mieux observer le monde qui nous entoure, et de nous y intégrer. De surcroît, cette faculté ouvre alors une voie royale vers d’autres formes d’intelligence, telles que l’empathie, l’intuition, la résilience, ou encore la gestion des émotions, alors que – phénomène découvert par des chercheurs du Massachusetts General Hospital – le tissu cérébral du cortex préfrontal (berceau de la gestion des émotions) semble être davantage sollicité, et même modifié, par la pratique quotidienne de cette fameuse méditation…
Quid pour les HP ?
Raisonnement global, hyperactivité cérébrale, pensées fulgurantes… : autant de caractéristiques du mode de fonctionnement des personnes “Haut-Potentiel”, apparemment antinomiques à toutes idées se rapprochant, de près ou de loin, de la pratique de la méditation.
Et pourtant, ne s’agirait-il pas là, si pas du seul outil ici potentiellement efficace, du moins l’un des plus prometteurs pour cadrer ces intelligences particulières ?
En effet, il s’agit alors de tenter de s’arrêter sur l’observation des sensations corporelles, en posant simplement l’instant vécu, en renouant une fois de plus avec le présent.
Parfaitement capables de l’exercice (même si parfois touchés par une forme d’impatience en vue d’un résultat potentiellement efficace, mais ô combien trop tardif), les HP prédisposent justement de cette intelligence de situation qui offre l’opportunité de comprendre que ce retour au “vrai” constitue une véritable source de bien-être.
La méditation et la pleine conscience représentent en outre des outils particulièrement intéressants pour canaliser la puissance de ce mental envahissant, au sein duquel s’entrechoquent sans cesse de perpétuels allers-retours entre des “comment aurais-je pu faire mieux ou autrement ?” et autres “comment cela va-t-il se passer ?”. Peut-être serait-il alors plus judicieux de se replier vers l’essence même de la méditation et de se poser à mi-chemin, à savoir, dans l’instant présent ?
Enfin, la pratique de la méditation offre indéniablement une voie royale pour une meilleure compréhension de l’arborescence des pensées, avec pour issue vertueuse d’en faire une véritable force, en canalisant les ressources pour trouver sa voie, tout en maîtrisant ses émotions pour solidifier ses bases.
En définitive…
Avec l’esprit facilement “en vadrouille”, sans nul doute la pratique de la méditation est-elle encore plus compliquée pour les HP… .
La solution ? Suivre des formations, réaliser des exercices, appliquer des “Trucs et astuces”, et… persévérer !
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